Qu’est-ce qui vous a motivée à vous porter candidate ? 

Suivre et soutenir Eric Goffart, échevin des Travaux et chef de mon mari Claude Gossiaux lorsqu’il travaillait aux Services Travaux Voirie à Marcinelle.

L’avenir de mes petites filles me motive également pour apporter des changements positifs à Charleroi.

Pourquoi Les Engagés ?

La décision découle de ma motivation. J’ai toute confiance en Eric Goffart pour obtenir une meilleure gestion de notre Ville. Et donc, suivre et soutenir le parti des Engagés m’aide à mieux comprendre la politique et la possibilité de changer les choses pour le bien de chaque Carolo.

Aviez-vous un lien avec la politique, dans le sens le plus général du terme ?

Pas précisément, mais je suis toujours à l’écoute des autres, et je m’engage volontiers pour apporter mon aide, mon soutien, ma compassion, mon empathie.

C’est votre première campagne. Quelles sont vos impressions depuis la présentation ?

Le jour de la présentation des candidats pour la Commune et la Province a été une belle expérience. Depuis, je découvre et j’apprécie la solidarité entre les candidats, l’enthousiasme de chacun, la générosité, le partage…  Eric Goffart et son équipe nous entourent, nous conseillent, nous aident à gérer le bon fonctionnement de cette première campagne.

Que répondez-vous à un électeur potentiel que vous ne connaissez pas, qui vous demande de lui donner une ou plusieurs bonne(s) raison(s) de voter pour les Engagés et pour vous personnellement ?

Je suis pensionnée et je désire donner de mon temps et de mon énergie pour changer ce qui doit l’être. Grand-mère de deux petites filles, je suis motivée par la volonté de leur prévoir un monde meilleur. Participer aux élections au sein d’un parti capable d’apporter les changements qui correspondent à ma volonté est crucial.

Etes-vous membre d’une ou de plusieurs associations ?

Non.

Citez trois propositions pour améliorer le cadre de vie des Carolos : 

Dans la Ville, vue dans son ensemble.

– Améliorer les espaces verts et renforcer la propreté.

– Soutenir le commerce local je pense en particulier à la Ville Basse

A Mont-sur-Marchienne où vous habitez.

Je dirais : terminer les travaux entamés, car il me semble que ça met du temps. Je ne suis pas directement concernée, mais je comprends les embarras que cela occasionne.

Dans votre quartier.

Je suis une privilégiée. Nous habitons au bas de la rue du Grand Escalier, anciennement la rue des Hayettes, dans un endroit agréable et tranquille. Ma proposition est un souhait : que mes concitoyens puissent connaître les relations de bon voisinage que nous y avons. Un vrai plus.

Sur quels thèmes, souhaitez-vous travailler, en fonction de votre expérience, de vos coups de cœur… ?

La propreté et l’insécurité due à la présence de toxicomanes dans le centre de Charleroi. Elle a une incidence, notamment à la Ville basse sur la fréquentation et donc sur les commerçants. Mais quelles solutions proposer ? Créer des ghettos pour les toxicomanes ? Comment les aider ?

Que manque-t-il encore à Charleroi pour que notre Ville reçoive dans le guide Michelin la mention « Mérite un détour » (deux étoiles), voire « Vaut le voyage » ?

En laissant parler mon cœur, je dirais retrouver la Ville Basse vivante et sécurisée.

La propreté laisse à désirer, même le sol de la Place Verte est taché, il manque des poubelles. Idem à la Place de la Digue. Les toxicomanes s’y déplacent en mendiant, ce qui met mal à l’aise. Les commerces changent régulièrement, quelques-uns sont installés depuis des années et rencontrent des difficultés, mais résistent.

C’est pour eux que mon mari et moi continuons à nous y rendre, comme nous le aimons le faire depuis 40 ans. Nous y emmenons parfois nos petites filles pour déguster une crêpe !

La Ville Basse devient de plus en plus désertique. Nous y rencontrons souvent des connaissances avec lesquelles nous discutons du déclin de Charleroi ! Mais nous devons garder l’espoir !